Pour ceux lassés du train-train quotidien
Days of Wonder a trouvé un filon grâce à Alan R. MOON et l’exploitation tourne à fond : Les Aventuriers du Rail Europe, Scandinavie, Le jeu de cartes, USA 1910, Jeu de Dés, Europa 1912, Alvin & Dexter, Asie, Inde, Au cœur de l’Afrique, Pays-Bas, Royaume-Uni, Le Train d’Halloween, 10e anniversaire, Edition Märklin, Mon premier voyage et j’en passe… Une mine d’or je vous dis !
Si à 40 ans tu n’as pas fait une partie des Aventuriers du Rail t’as raté ta vie ludique. Oui, parce qu’il y a un moment où t’en entends tellement parler que tu craques, tu veux essayer. Parce qu’il y a un moment où tu vois passer une version sur un thème ou bien sur un pays qui te parle et tu te dis « tiens, j’essaierai bien celui-là, il doit être sympa ».
Le matériel est comme toute la série irréprochable. Les bateaux et les trains sont très sympa. Le plateau est superbe. Il est recto verso, d’un côté les grands lacs, version un peu plus facile et de l’autre le Monde. Les règles tiennent en 4 pages, elles sont simples, précises et vous pouvez les expliquer en 10 minutes chrono. Seul petit bémol, la lisibilité des cartes contrats qui sont un peu trop ternes pour moi.
[…] Voilà, les règles sont quasiment terminées. Là où le jeu se complique, c’est qu’en général, seule une personne peut détenir un tronçon de chemin, c’est donc le premier qui s’installe qui en prend possession. Il sera alors courant de faire des détours pour arriver à votre fin ! Côté points, rien d’original, il faut en avoir le plus en fin de partie. Pour marquer des points, il existe trois possibilités : construire des tronçons, réaliser des contrats et avoir construit des ports. Pour perdre des points, il vous suffit de foirer vos contrats ou de ne pas construire vos ports.La suite de l’article sur « Les Aventuriers du rail, autour du monde » est à lire en intégralité dans le numéro 9 de l’encéphalovore (à télécharger ici).
