Le céleste Célestia
Célestia vous propose d’embarquer pour des aventures ultra lucratives, à bord d’un aéronef, pour essayer de récupérer les trésors les plus gros. La question est de savoir si vous ferez confiance au capitaine …
C’est une boîte moyenne ornée d’un joli dessin. Dessin onirique qui pourrait très bien se retrouver dans les beaux livres illustrés pour enfants. L’illustrateur est Gaëtan Noir et ça tombe bien, il a déjà contribué à des livres et autres illustrations pour des magazines de jeunesse. C’est juste magnifique de poésie visuelle, tout comme c’est empli de références à des monuments de la littérature fantastique. La douceur des couleurs et la multitude de clins d’œil nous fait un bien fou.
Une fois le stade visuel dépassé, on s’intéresse forcément à « cékiki ». Comprenez l’auteur du jeu. En l’occurrence Aaron Weissblum. Ce n’est pas un inconnu car il a, entre autres, créé ou co-créé des jeux comme Spellcaster, Oasis et San Marco.
Le vent nous portera
Dans Célestia, vous incarnez un voyageur qui va tenter, avec ou sans ami avec lui dans l’aéronef, d’aller le plus loin possible pour récupérer des trésors de plus en plus gros.
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Pour surmonter les dangers, seul le capitaine actuel devra jouer les cartes adéquates réclamées par les symboles des dés. Autant dire que les joueurs n’ont pas des masses de cartes en main (6 au départ) et plus le navire volant avance et plus le nombre de cartes des joueurs s’amenuise. Donc pour réussir à surmonter les dangers (de plus en plus nombreux selon l’avancée de l’aéronef) il va falloir un peu de chance et une bonne dose de prudence.
La suite de l’article sur Célestia est à lire en intégralité dans le numéro 7 de l’encéphalovore (à télécharger ici).