Doggy Bag est un jeu d’ambiance à prise de risque familial ou on joue un chien ! Auteur de Panic Island, Antonin Boccara ne passe pas inaperçu, jovial et excentrique, c’est un passionné qui vous fera aimer ses jeux. C’est peut-être la principale raison qui m’a fait tester Doggy Bag. Woof !
Vous incarnez un chien travaillant pour Fagin, le jour vous lui donnez des os pour qu’il vous fiche la paix, la nuit vous tentez de les récupérer avec douceur et subtilité.
Doggy bag est très simple. Vous disposez tous du même panel d’os derrière votre votre paravent. Ils valent plus ou moins de points selon leur couleur, mais ce sont les noirs les plus importants. Au milieu de la table, un sac avec un os de chaque couleur. Puis à côté, des tuiles numérotées de 0 à 7.
« Un bon os ne tombe jamais dans la gueule d’un bon chien. » -Proverbe Québécois
À chaque début de tour, vous mettrez de deux à quatre os dans le sac. Puis dans l’ordre du tour vous allez parier le nombre d’os que vous pouvez piocher dans le sac sans prendre de noir. Vous prenez la tuile correspondante au chiffre annoncé et vous réalisez l’action correspondante.
Ces actions sont diverses comme devenir premier joueur, échanger un os avec les autres, etc. Ensuite, le premier joueur piochera un à un le nombre d’os demandé. S’il pioche un os noir, il stoppe immédiatement son tour. Il garde devant lui l’os noir par contre, le reste des os piochés est mis sur la tuile Fagin et c’est au suivant de tenter.
Au bout de trois os noir le joueur est éliminé. C’est rude mais il y a un moyen pour s’en débarrasser. Par contre, en cas de réussite …
La suite de l’article sur « Doggy Bag » est à lire en intégralité dans le numéro 11 de l’Encéphalovore (à télécharger ici).