Fairy Tile, Conte à la page

Dans Fairy Tile, pour raconter une histoire, il faut l’avoir vécue ! Question de crédibilité. Mais toute la difficulté est de suivre le scénario en plantant le (bon) décor et en faisant jouer juste les protagonistes. Ce qui est drôle c’est que vous êtes plusieurs à vouloir raconter votre histoire…

Ce qui frappe fort au premier contact visuel de Fairy Tile, c’est son parti pris artistique. C’est tout simplement magnifique. Miguel Coimbra s’est bien appliqué pour nous plonger dans une ambiance de conte médiéval illustré en vitraux ! En effet, de ce côté-là rien à dire.

Je suis conquis, sous le charme, et ces couleurs chatoyantes de printemps nous mettent un peu de baume aux yeux (sur le principe, dit comme ça, ça pique un peu).

L’habit ne fait pas le moine

C’est dans la gamme de jeux «  moyens » (et familiaux) de Iello que Fairy Tile se place. La boîte carrée loge une bonne vingtaine de tuiles, une soixantaine de cartes «  page », quatre jetons « magie » et trois figurines.

Les cartes sont toutes aussi pourvues des somptueuses illustrations de maître Coimbra. Les tuiles cartonnées, quant à elles, ont des illustrations quelconques mais facilement identifiables pour la lisibilité du jeu.

Quant aux figurines, en plastique, elles sont sommairement peintes et plutôt de bonne facture. Dans son ensemble, Fairy Tile est donc une petite «  claquounette » visuelle qui nous sort un peu des productions édulcorées actuelles, certes jolies, mais qui semblent hyper uniformes les unes par rapport aux autres.

La belle et la bête (et le héros).

De deux à quatre joueurs, chacun des participants se verra distribuer équitablement toutes les cartes «  page ». Ces cartes vous invitent à réaliser certains objectifs. Pour gagner à Fairy Tile, il faut être le premier à réussir à jouer toutes ses cartes. Cependant vous n’êtes limité qu’à une seule action par tour.

Vous pouvez, soit déplacer une figurine (d’un mouvement simple, propre à chaque figurine) soit poser une nouvelle tuile qui va agrandir le royaume de Fairy Tile. Le tout est super bien expliqué dans la règle du jeu.

Ensuite, avec la nouvelle situation que vous venez de créer, vérifiez si vous pouvez accomplir votre carte « page ». N’oubliez pas qu’il faut être le premier à…

La suite de l’article sur « Fairy Tile » est à lire en intégralité dans le numéro 12 de l’Encéphalovore (à télécharger ici).

 
Rédigé par
Du rab de Draft Punk
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