Le nouveau jeu, dont la beta s’est terminée, est sorti ce 2 juin. Blizzard n’était pas réputé pour être hyper ponctuel, mais à fait de sacrés efforts depuis quelque temps. Ils doivent surtout leurs lettres de noblesse par le long travail de test et de « débugage » de la plupart des leurs jeux. On ne va pas leur enlever ça… pourtant c’est bien pour 2015 qu’ils l’ont annoncé. Et c’est bien là !
Le jeu est, de base, gratuit. Vous pouvez y jouer avec les héros de la semaine. Chaque semaine, les héros effectuent une rotation de disponibilité. Sauf si vous payez en véritable argent ou en pièce d’or (monnaie du jeu) au fur et à mesure des parties que vous jouerez. Ceci étant dit, on ne pourra pas être taxé de vous avoir pris en traître.
Heroes of the Storm, à l’instar d’un modèle qui cartonne instauré par League of Legends, vous propose d’incarner l’une des figures emblématiques des différents jeu de Blizzard et de vous plonger, avec des amis ou d’autres joueurs en ligne, dans une arène ou deux camps se font face et où le but, le seul et unique, est de détruire l’idole adverse. Je viens de faire un sacrée phrase là, non ?
Selon les cartes (les « maps » comme disent les initiés) il vous est proposé, outre des décors variés, quelques règles supplémentaires afin de vous aider dans votre quête de destruction. Chacun des membres de l’équipe devra faire preuve de solidarité (c’est bien un grand mot) pour aider ses compagnons à réussir les mini-quêtes proposées par la carte. Par exemple, vous devrez réunir un certain pécule de pièces d’or afin de satisfaire un pirate fantôme qui vous proposera alors de sortir ses gros canons de son navire, tout aussi fantômes que lui, et de pilonner à grands coups de gros boulets les défenses adverses. Ce qui apportera alors à l’équipe la mieux organisée un avantage non négligeable. Tout en finesse donc.
La suite de l’article : le test de Heroes of the Storm est à lire en intégralité dans le numéro 3 de l’encéphalovore(à télécharger -gratuitement- ici).