NOT ALONE est un jeu asymétrique semi coopératif opposant une créature aux Naufragés. Les mécaniques sont assez nombreuses : 40% de guess, 40% de bluff, 10% de programmation, 10% de deck building !
25ème siècle, l’Humanité s’est envolée depuis longtemps vers les étoiles. Elle a voyagé aux confins de la galaxie et pourtant, elle n’a jamais rencontré d’autre forme de vie intelligente.
En fouillant les archives centrales de la vieille Terre, vous avez découvert qu’une planète du nom d’Artemia avait été rayée des cartes officielles et qu’aucune autre donnée n’était disponible. Intrigués, vous montez une expédition.
Les premiers relevés de la surface d’Artemia révèlent une planète de classe M, accueillante pour l’homme et abritant une faune et une flore riches et variées. Lors de votre entrée dans l’atmosphère, un puissant champ magnétique met les ordinateurs de bord hors service. Après avoir lancé un SOS, le Capitaine ordonne l’évacuation du vaisseau avant l’inévitable crash.
Sains et saufs, vous entamez l’exploration des environs lorsque vous entendez les cris d’agonie de votre capitaine. Au loin vous distinguez une silhouette qui vous observe.
Vous n’êtes pas seuls …
L’entrée en matière est finalement plus longue que les règles de Not Alone. Un tour de jeu très simple.
Les rescapés choisissent une carte Lieu de leur main, ils la posent face cachée devant eux. À son tour, le joueur gérant la créature indique l’endroit où elle se trouve.
Tous retournent leur carte et on applique leur effet, sauf si la créature est dessus. Dans ce cas, le marqueur de la créature avance sur la piste de progression et le rescapé se prend des dégâts mentaux.
Pendant le jeu, les rescapés vont découvrir de nouveaux lieux, ils pourront alors faire de nouvelles actions en s’y positionnant. En fin de tour le marqueur des rescapés avance sur la même piste de progression.
Le gagnant sera celui qui aura réussi à arriver le premier à l’objectif de cette fameuse piste de progression.
Alone in the dark
Le jeu se complique au fur et à mesure…
La suite de l’article sur « Not Alone » est à lire en intégralité dans le numéro 11 de l’Encéphalovore (à télécharger ici).