« Le vrai mystère du monde est le visible, et non l’invisible »
(Oscar Wilde, extrait de Le Portrait de Dorian Gray)
Alors que la saison 2 de Penny Dreadful pointe à peine le bout de son nez, la série fantastique de ShowTime (et diffusée par Netflix) commence à prendre de l’ampleur et son succès de notoriété n’est pas une usurpation. Petit retour sur la saison 1.
Pour commencer, on va tenter d’éviter de dévoiler des éléments importants de l’histoire et de l’intrigue (ce que les aficionados des séries appellent « spoiler »). C’est la moindre des choses mais l’exercice est ardu car on risque, par passion, d’en raconter un peu trop.
« Penny Dreadful » est une série produite par ShowTime (Dexter, Homeland, Ray Donovan, etc.) et se passe en majeure partie dans un Londres mystérieux à l’époque victorienne, 1891 pour être précis.
L’occulte, l’horreur et le frisson sont les caractéristiques premières de « Penny Dreadful ». Et croyez-moi (si vous le voulez) mais la série va s’y tenir.
Créée par John Logan (scénariste entre autre de petits films comme Gladiator, Rango, Skyfall, etc.) la série nous propose donc une virée macabre et horrifique à Londres où de multiples massacres de civils commencent à affoler la population. Les autorités, bien incapables de suivre la moindre piste, sont désemparées.
De son côté, Sir Malcom (Timothy Dalton) un ancien aventurier d’âge mûr ayant acquis une richesse colossale par ses diverses expéditions passées, va s’allier avec la mystérieuse Vanessa Ives (Eva Green) qui semble posséder des pouvoirs défiants toute rationalité et tout contrôle, pour essayer d’enrayer et de combattre ces forces maléfiques.
La suite de l’article sur Penny Dreadful est à lire sur le numéro 2 de l’encéphalovore (à télécharger -gratuitement – ici).