L’apocalypse, ambiance fin du monde quoi, ce n’est pas que des zombies en masse. Même si ces derniers affectent un peu le moral, Une pluie sans fin (pas de blague sur la Bretagne, merci…) peut aussi vous plonger dans cette ambiance… euh… humide.
Cohen vit seul. Ou plutôt Cohen vit seul avec son chien et sa jument. Quand Cohen veut manger, il sort de sa maison avec son fusil et il part. Car il va affronter le monde pour rejoindre l’unique point de ravitaillement du coin … le coin qui n’est quand même pas à côté mais qui lui permet de survivre dans ce merdier boueux qu’est devenu le monde … son monde … quelque part dans le sud des Etats-Unis, quelque part entre l’Alabama et le Texas.
Car à force de tempêtes et d’ouragans cette partie du monde est devenu un no man’s land, une zone de non-droit … un lieu abandonné de tous, même des dirigeants qui ont préférés tracer une limite sur la carte et ont décrétés que personne ne vivrait plus sous cette limite. Ici, c’est chacun pour soi et la nature en profite pour reprendre ses droits.
Lors d’une de ses expéditions, il découvre un groupe de survivants sous la coupe d’une sorte de prêcheur fanatique et cruel qui retient contre leur gré des femmes et des enfants. L’arrivée de Cohen dans cette communauté va tout faire voler en éclat.
La suite de l’article sur le livre « Une pluie sans fin » est à lire en intégralité dans le numéro 5 de l’encéphalovore (à télécharger ici).