Tiré du jeu vidéo à succès du même nom, vous incarnez l’élite de la défense terrienne face aux invasions barbares extra-terrestres. Que vous soyez militaire aguerri, commandant au sang froid, super rat de laboratoire ou spécialiste du renseignement, la XCOM a besoin de vous. Quant à vous, vous aurez besoin d’une tablette et d’un bon gros brin de chance.
XCOM est un jeu coopératif dans le sens le plus strict du mot. Pas de félon ou d’objectif secret. Ici et comme dans le jeu vidéo du même nom duquel il est tiré, il va falloir jouer à XCOM : le jeu de plateau dans l’intérêt de tous.
De prime abord, XCOM : le jeu de plateau est encore un (énième) jeu de coop comme on en voit déjà tant. La mécanique reste celle du jeu contre les joueurs mais, technologies modernes (et coûteuses) oblige, une application doit vous accompagner. Alors même si l’appli est gratuite, le téléphone assez puissant avec un grand écran ou, et c’est mieux, la tablette n’est pas fournie dans la boîte.
Une fois ces éléments réunis (jeu, tablette + appli et des potes) on peut commencer sans plus attendre la défense de cette bonne vieille planète terre. Et ouais faudrait voir à ne pas trop déconner quand même.
La première phase d’un tour de jeu se déroule en temps réel.
La particularité de l’apport de la tablette, qui va nous servir de maître du jeu (MJ), c’est qu’elle va gérer les évènements auxquels les fiers membres de la XCOM (les joueurs) vont devoir faire face. Et la gestion, en temps réel s’il-vous-plaît, va sacrément pimenter vos décisions prises dans le strass et les paillettes stress et la panique et auront des répercussions plus ou moins bonnes sur tout le groupe.
Dans XCOM : le jeu de plateau c’est chacun son rôle. Et pour le «RôlePlay» (l’immersion des rôles) je conseille donc de laisser le Commandant trancher lors des phases où personne n’est d’accord sur la stratégie à employer. Après tout c’est lui qui casque c’est donc lui le Gérard (celui qui gère, hein…).
La suite de l’article sur XCOM est à lire en intégralité dans le numéro 5 de l’encéphalovore (à télécharger ici).